mercredi 13 juillet 2011

Inutile; Texte: Jeanne d'Arc



La jeune fille était poster sur le canapé de la famille poster au milieu de la pièce. Elle fermait les yeux l'air triste. La bouteille de wisky pur qu'elle tenait à la mains pouvait présumer de son activité. A quelque pas de son trône, toutes ses affaires avaient été placé en tas sans aucun ordre, comme une montagne de déchet, une montagne qui méritait de disparaitre. La jeune fille ouvrit les yeux balaya la pièce du regard. Remplis de vieux meubles familiaux qui valaient sans doute beaucoup d'argent et de tableau que ses parents avaient acheter au cours du temps, prenaient toute la place. Ils n'avaient jamais été fière de cette baraque construite il y a peine cinq ans. Elle n'avait pas le cachet d'une ancienne baraque branlante. Au début lorsque la petite famille avait emménager les vieux meubles avaient parut déplacé parmi ces murs unis, ces sol en carrelage neuf et au fenêtre en Pvc. Grâce à son imagination, la mère de la jeune fille avait transformé en quelques années l'intérieure de la petite maison rescente et sans charme en quelques choses de bien décoré et ancien. Pourtant elle en souffrait. Cette femme aurait préféré conserver la maison de sa mère qu'elle avait vendue par contrainte. Plongé dans les souvenirs de la transformation de chacune des pièces de la maisons la jeune fille entendit à peine le bruit de coulissement de la porte lorsqu'elle s'ouvrit et se referma. Par contre, elle vit nettement l'homme se planter face à elle l'air nonchalant avec un sourire victorieux sur les lèvres. Elle n'eu pas besoin de le détailler. Elle savait parfaitement qu'il était vetu de son habituelle manteau de cuir et de son jean troué. la chemise rouge vin n'avait pas changer en une semaine écoulé. Le couteau qu'il tenait par contre avait été modifié. Elle lui avait emprunter de manière permanante son ancien.

-Alors petite souris, on en a marre de fuir le grand méchant loup? Ou peut être es tu tombé amoureuse de moi finalement!  Malheureusement j'ai du travail et je ne vais pas pouvoir m'occuper de toi... Je vais juste te faire une petite piqure de rien du tout... Tu ne sentira rien je te le promet.

La jeune fille le regarda d'un air de chien mort, s'assit fasse à lui puis se mis debout, tout en lenteur. Elle appuya sur la télécommande qui alluma la chaine hi fi ancienne génération retravaillée et une chanson de Trapt commença à s'élever dans la pièce.

-Je vois que tu n'a pas compris vieux. Jamais je ne me laisserais violer de nouveau par toi ni tuer! Par contre tu as raison j'en ai marre de fuir. C'est pour ça que je t'ai attirer in trapt...

Le rire qu'elle laissa échapper lorsque l'homme la regarda comme s'il avait pris une brique était lointain presque rêveur. Il fit un pas en avant l'air furax. Ces pieds qu'il avait laisser nue en entrant dans la maison pour ne pas faire de bruit rencontrèrent alors quelques choses de mouillé. Il regarda par terre et découvrit une flaque qui parcourrait presque entièrement la pièce et se glissait même sous les tapis. Sa couleur rouge blanche ou bleu ne laissait en aucun cas deviner ce que s'était. Mais l'odeur d'alcool entetente pouvait donner une vague idée de ce que cela pouvait être. Il releva les yeux lorsque la jeune fille ce dirigea vers l'un des buffets de la pièces et y pris deux objets. Il fut surpris de lui voir prendre un briquet et un déodorant pour femme. Elle retourna s'assoir sur son canapé et se versa deux verres de vin dans des gobelets en plastique.

-Vois tu vieux... J'ai une longueur d'avance sur toi cette fois. Je savais que t'allais te pointer au depart de mes parents pour me faire peur ou pire. Du coup j'ai pris ma décision. J'en ai marre de m'attacher à mes souvenirs, marre que mes parents haïsse cette maison et marre de vivre cette vie. 

Elle tapota le canapé et lui fit signe de s'assoir.

-J'ai donc décidé de faire quelque chose qui rendra service à tout le monde, même à la planète. Je suis généreuse non?

D'un pas méfiant il s'approcha s'assit et pris le verre qu'elle lui tendait. Il sentit l'arôme qui en sortait et ne détecta que du vin.

-N'ai pas peur ce n'ai pas un petit alcool qui te tuera! Beaucoup peut être. De plus je n'ai pas de raison de t'empoisonner sa me servirai à rien surtout qu'un poison indetectable coute la peau des fesses et j'ai toujours 18 ans à la charge de mes parents. Donc pauvre. Je peux boire dans les deux verres pour te montrer qu'ils ne sont pas truquer si tu veux.

Il la regarda faire, récupéra l'un des verres et commença à boire. Cette nana était de plus en plus bizarre. C'était la première fois depuis qu'il la violentait qu'elle était... aussi détendue. Il posa une main sur sa cuisse et la jeune fille ne réagit pas. Elle pris simplement la télécommande de la maison, appuya sur un bouton et un claque rententi dans la maison.Avant qu'il ai pu ce demander à quoi il correspondait la jeune fille continua son monologue.

-J'ai décidé d'être clémente. Effectivement à notre dernière rencontre tu as dit que tu n'ai pas bâtiser j'ai décider de le faire aujourd'hui même! Par contre tu m'excusera je n'ai plus que de la bière.

Joignant le geste à la parole la jeune fille versa sans aucune état d'âme la bouteille sur son "invité". Outré l'homme commenca à lacher des noms d'oiseaux.

-Et maintenant avant que tu ne fasses quoi que se soit je vais t'apprendre un truc que l'on enseigne pas au lycée mais dans les cours de récré notamment avec les garçons de mon âge qui aiment ce la peter. 

Elle lui montra la bouteille de déo et alluma le briquer. Ils regardèrent tout deux la flemme danser quelques secondes jusqu'à ce que l'homme réalise ce qu'elle voulait faire. Alors qu'il allait fuir il entendit les deux mots qui le glacèrent.

-Trop tard.

Elle appuya sur le pshit du déodorant et une flamme vint lecher le corps de l'homme qui pris feux. Torche vivante. Les flammes envahirent immédiatement tout le salon qui était remplis de multitude de produit inflammable. Une petite explosion envoya la jeune fille contre le mur alors que l'homme hurlait de douleur et se roulait par terre en essayant d'éteindre les flammes peine perdue. Le feu lecha peu à peu tout les éléments du salon et le reste de la maison avec la jeune fille dernière gardienne de la maison. Elle se laissa brûler vive en chuchotant dans un dernier souffle...

-Au moins je sais maintenant ce que ressentais Jeanne d'Arc.

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